Pour répondre à un tweet de +Charlotte Boyer qui se demandait pourquoi on pouvait avoir cette sensation de fatigue après avoir écrit longuement (rappelons que nous sommes en plein #challenge1000Mots jusqu'au 1er Septembre), j'avance ce petit bout d'article tiré de : "paroles de chercheurs", un atelier visant à la vulgarisation de certaines recherches et mis en place par l'Université Libre de Bruxelles.
Le rôle du cerveau dans la fatigue musculaire
Cet article fait penser à ce fameux "influx" cher aux sportifs de tous bords, que certains charlatans reprennent à mauvais compte pour vendre des capsules de magnésium et des plantes aromatiques. Cependant, la plupart des sportifs de compétition reconnaissent bien l'importance de cette qualité d'influx (et donc de cet équilibre entraînement/repos) qui permet des qualités de course (sportive) importantes.
Et oui, écrire représente une activité physique impliquant nerveusement la personne, qui demande de la concentration et par conséquent amène un certains degré de fatigue.
L'un de vous a-t-il déjà balancé : "les échecs ? Un sport ?"
Allez donc assumer le degré d'effort (nerveux y compris) d'une partie.
Hein, alors ! ;-)
Nous, on écrit.
Bonjour, oui pas si simple ce challenge, surtout apres des vacances loin tres loin... le rythme parle t il de fatigue, ou de mouvement ?
RépondreSupprimerJe prends soin de mon cerveau... ;)
Bonjour :-)
RépondreSupprimerEffectivement, il n'est pas évident de se caler dans le rythme de ce challenge. En soit, atteindre les 1000 mots n'est pas le plus compliqué, ce qui l'est, c'est de réussir à organiser le temps autour de cet axe là. j'avoue avoir bien géré les 5 premiers jours, mais, depuis, c'est plus compliqué. Sinon, l'étude traite plutôt de l'impact d'une mobilisation longue (que ce soit en temps ou en dépense énergétique ou même nerveuse) sur le ressenti musculaire. E donc la fatigue générale de l'organisme... Bon courage pour le challenge. On avance quand même :-)